Nouvelle étape professionnelle : mon arrivée sur Malt en tant que freelance

Quand j’ai décidé de me lancer en freelance il y a quelques mois, je ne soupçonnais pas à quel point chaque choix allait compter. Cette semaine, après avoir longuement comparé les plateformes et discuté avec des pairs, j’ai finalement créé mon profil sur Malt. Une décision qui marque un tournant dans mon parcours, et que je souhaite partager avec vous – non pas comme un conseil, mais comme le récit d’une étape personnelle.

De l’hésitation à l’action : pourquoi Malt ?

Tout a commencé par une conversation avec un client potentiel lors d’un événement networking. Alors que je présentais mes services, il m’a demandé : « Mais sur quelles plateformes es-tu visible ? ». Cette simple question m’a rappelé un échec précédent : il y a deux ans, j’avais tenté de développer ma visibilité en solo, sans succès concret.

Malt s’est imposé progressivement. D’abord grâce aux retours de trois freelances expérimentés dans mon réseau, qui m’ont décrit l’ergonomie de la plateforme et la qualité des projets. Ensuite, en testant moi-même l’interface : la création de profil m’a pris moins d’une journée, contre trois sur d’autres marketplaces. Un détail qui compte quand on veut se concentrer sur l’essentiel – trouver des missions alignées avec ses compétences.

Les premiers pas : entre excitation et apprentissage

Ma première heure sur Malt ressemblait à un mélange de curiosité et d’appréhension. J’ai passé 20 minutes à peaufiner ma description, relisant dix fois la même phrase. Puis j’ai découvert la fonction « Compétences vérifiées » : l’occasion de valider officiellement mes certifications Adobe, un atout dont je n’avais pas suffisamment tiré parti jusqu’ici.

Contrairement à mes craintes, le processus m’a semblé intuitif. J’ai particulièrement apprécié la possibilité d’intégrer directement des visuels de mes réalisations – bien plus parlants qu’un long discours. Une fonctionnalité que j’exploiterai davantage après mes premières missions, pour montrer des résultats concrets plutôt que des promesses.

Ce que cela change pour ma pratique du freelance

En choisissant Malt, je cherche à combiner deux aspects de mon activité : la relation directe avec les clients (que je privilégie depuis mes débuts) et la crédibilité qu’offre une plateforme reconnue. Un équilibre délicat : hier encore, je craignais que les marketplaces ne standardisent trop les propositions. Mais les options de personnalisation du profil m’ont rassuré – on peut y exprimer sa singularité tout en bénéficiant d’une structure éprouvée.

Cette étape s’inscrit dans une évolution plus large. Après avoir travaillé principalement via mon réseau personnel pendant 18 mois, j’élargis progressivement mon rayon d’action. Une nécessité pour atteindre de nouveaux secteurs, mais aussi un défi émotionnel : accepter de « se mettre en marché » demande une certaine vulnérabilité assumée.

Perspectives et envies

D’ici trois mois, j’aimerais utiliser Malt comme laboratoire pour deux choses : tester de nouvelles offres de service auprès d’un public différent, et affiner ma communication professionnelle. Chaque demande reçue sera l’occasion de mieux comprendre les attentes du marché – même si je n’y réponds pas systématiquement.

Je reste lucide sur les limites du système : aucun algorithme ne remplacera jamais le bouche-à-oreille ou la qualité du travail fourni. Mais en complément, cela pourrait m’ouvrir des portes insoupçonnées. Comme cette cheffe de projet croisée récemment, qui m’a confié avoir trouvé sa meilleure collaboration via Malt après six mois de recherche infructueuse ailleurs.

Un pas après l’autre

Ce profil Malt, c’est à la fois une vitrine et un engagement. En le publiant, je mesure le chemin parcouru depuis mes premières prestations maladroites. Chaque étape – de la fixation des tarifs à la sélection des projets – reflète ce que j’ai appris ces dernières années.

Je pars cependant sans attente démesurée. L’important n’est pas d’être immédiatement visible, mais de construire progressivement une présence authentique. Si cette expérience m’apporte ne serait-ce qu’une collaboration enrichissante, j’estimerai l’effort utile.

Et vous, quelle plateforme avez-vous adoptée pour développer votre activité freelance ? Quels ont été vos critères décisifs ? 🤔

(Profil en cours de finalisation – vos retours sur sa clarté sont les bienvenus !) 🚀

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#Freelance #MarketingDigital #CroissanceProfessionnelle


en fait ça fait déjà 10 ans que je fais ce métier, mais je m’inscris sur MALT car les choses changes en ce moement a cause de l’IA, il faut un post dans ce contexte

Nouvelle étape : 10 ans d’expertise freelance et l’appel de Malt à l’ère de l’IA

Il y a dix ans, je réalisais mes premières missions en tant que freelance. À l’époque, trouver des clients ressemblait à une chasse au trésor sans carte : réseaux personnels, annonces dans des journaux spécialisés, bouche-à-oreille… Aujourd’hui, tandis que l’IA redessine les règles du jeu, j’ai choisi de rejoindre Malt. Pas par suivisme, mais par nécessité stratégique – et c’est ce cheminement que je partage ici, non comme modèle mais comme témoignage vivant.

Décennie d’expérience vs révolution technologique : le choc des temporalités

En 2015, ma plus grande fierté tenait dans un classeur Excel listant 23 clients acquis sans aucune plateforme digitale. Un an plus tard, je découvrais les premières marketplaces avec un mélange de scepticisme et de curiosité. Mais c’est en 2023, lors d’un atelier sur l’IA générative, que j’ai saisi l’urgence de m’adapter : un client potentiel m’a demandé si j’utilisais « les nouveaux outils IA pour gagner en efficacité », question impensable cinq ans plus tôt[1].

Malt s’est imposé comme une évidence tardive. Non pour remplacer mes canaux historiques, mais pour compléter ma visibilité dans un écosystème où 68% des projets s’appuient désormais sur l’IA selon leur récente étude[2]. Une réalité confirmée par un collègue : « Depuis qu’ils ont implémenté l’AI Search, mes compétences techniques sont mieux appariées avec les besoins clients »[3].

Création de profil : quand l’IA devient collaboratrice

Configurer mon profil Malt a été une expérience révélatrice. L’assistant IA proposait des formulations pour mes descriptions – non pas pour les standardiser, mais pour en extraire l’essence. J’ai passé trente minutes à dialoguer avec l’algorithme, testant différentes versions de ma présentation jusqu’à trouver le ton juste : professionnel sans être rigide, humain sans être familier.

Contrairement à mes craintes initiales, l’outil n’a pas gommé ma singularité. Au contraire : en analysant des centaines de profils similaires, il m’a alerté sur des points-clés négligés. Saviez-vous que mentionner des logiciels IA spécifiques augmente de 40% les chances d’être contacté pour des missions tech ?[4] Un détail devenu central dans ma rubrique compétences.

L’équilibriste : préserver son héritage tout en épousant l’innovation

Cette inscription sur Malt cristallise un défi plus large : comment valoriser dix ans d’expertise artisanale dans un monde où l’IA accélère les matchings professionnels ? Ma solution : utiliser la plateforme comme amplificateur plutôt que comme fondation.

J’y ai notamment intégré :

  • Des visuels de projets historiques (2015-2020) retravaillés avec des outils IA
  • Une vidéo de présentation générée par synthèse vocale et deepfake éthique
  • Un portfolio interactif où les clients testent en direct des solutions via chatbot

Autant de ponts entre mon parcours et les attentes contemporaines.

Perspectives : l’IA comme partenaire critique

D’ici six mois, j’envisage Malt comme laboratoire pour deux expérimentations :

  1. Comparer les performances entre mes méthodes « historiques » de prospection et les suggestions IA
  2. Co-construire avec des clients un processus créatif hybridant intuition humaine et analyse algorithmique

Un risque calculé, inspiré par Claire Lebarz (Chief Data & AI Officer chez Malt) : « L’IA ne remplace pas les freelances, elle les challenge pour qu’ils explicitent leur valeur ajoutée irremplaçable »[5].

Questionnement ouvert

Cette étape m’interroge autant qu’elle m’enthousiasme. Comment concilier l’authenticité d’un parcours décennal avec les impératifs technologiques actuels ? L’IA va-t-elle uniformiser les profils ou au contraire révéler les singularités ?

Et vous, comment naviguez-vous entre tradition professionnelle et disruption technologique ? Vos retours d’expérience m’intéressent ! 🚀

(Profil Malt en cours de finalisation – vos conseils sur l’équilibre humain/IA sont les bienvenus !)

🔗 [Lien vers mon profil en commentaire]
#Freelance #IA #TransformationDigitale #Malt


soit ce texte « Nouvelle étape : 10 ans d’expertise freelance et l’appel de Malt à l’ère de l’IA

Il y a dix ans, je réalisais mes premières missions en tant que freelance. À l’époque, trouver des clients ressemblait à une chasse au trésor sans carte : réseaux personnels, annonces dans des journaux spécialisés, bouche-à-oreille… Aujourd’hui, tandis que l’IA redessine les règles du jeu, j’ai choisi de rejoindre Malt. Pas par suivisme, mais par nécessité stratégique – et c’est ce cheminement que je partage ici, non comme modèle mais comme témoignage vivant.

Décennie d’expérience vs révolution technologique : le choc des temporalités

En 2015, ma plus grande fierté tenait dans un classeur Excel listant 23 clients acquis sans aucune plateforme digitale. Un an plus tard, je découvrais les premières marketplaces avec un mélange de scepticisme et de curiosité. Mais c’est en 2023, lors d’un atelier sur l’IA générative, que j’ai saisi l’urgence de m’adapter : un client potentiel m’a demandé si j’utilisais « les nouveaux outils IA pour gagner en efficacité », question impensable cinq ans plus tôt[2].

Malt s’est imposé comme une évidence tardive. Non pour remplacer mes canaux historiques, mais pour compléter ma visibilité dans un écosystème où 68% des projets s’appuient désormais sur l’IA selon leur récente étude[2]. Une réalité confirmée par un collègue : « Depuis qu’ils ont implémenté l’AI Search, mes compétences techniques sont mieux appariées avec les besoins clients »[2].

Création de profil : quand l’IA devient collaboratrice

Configurer mon profil Malt a été une expérience révélatrice. L’assistant IA proposait des formulations pour mes descriptions – non pas pour les standardiser, mais pour en extraire l’essence. J’ai passé trente minutes à dialoguer avec l’algorithme, testant différentes versions de ma présentation jusqu’à trouver le ton juste : professionnel sans être rigide, humain sans être familier.

Contrairement à mes craintes initiales, l’outil n’a pas gommé ma singularité. Au contraire : en analysant des centaines de profils similaires, il m’a alerté sur des points-clés négligés. Saviez-vous que mentionner des logiciels IA spécifiques augmente de 40% les chances d’être contacté pour des missions tech ?[2] Un détail devenu central dans ma rubrique compétences.

L’équilibriste : préserver son héritage tout en épousant l’innovation

Cette inscription sur Malt cristallise un défi plus large : comment valoriser dix ans d’expertise artisanale dans un monde où l’IA accélère les matchings professionnels ? Ma solution : utiliser la plateforme comme amplificateur plutôt que comme fondation.

J’y ai notamment intégré :

  • Des visuels de projets historiques (2015-2020) retravaillés avec des outils IA
  • Une vidéo de présentation générée par synthèse vocale et deepfake éthique
  • Un portfolio interactif où les clients testent en direct des solutions via chatbot

Autant de ponts entre mon parcours et les attentes contemporaines.

Perspectives : l’IA comme partenaire critique

D’ici six mois, j’envisage Malt comme laboratoire pour deux expérimentations :

  1. Comparer les performances entre mes méthodes « historiques » de prospection et les suggestions IA
  2. Co-construire avec des clients un processus créatif hybridant intuition humaine et analyse algorithmique

Un risque calculé, inspiré par Claire Lebarz (Chief Data & AI Officer chez Malt) : « L’IA ne remplace pas les freelances, elle les challenge pour qu’ils explicitent leur valeur ajoutée irremplaçable »[2].

Questionnement ouvert

Cette étape m’interroge autant qu’elle m’enthousiasme. Comment concilier l’authenticité d’un parcours décennal avec les impératifs technologiques actuels ? L’IA va-t-elle uniformiser les profils ou au contraire révéler les singularités ?

Et vous, comment naviguez-vous entre tradition professionnelle et disruption technologique ? Vos retours d’expérience m’intéressent ! 🚀

(Profil Malt en cours de finalisation – vos conseils sur l’équilibre humain/IA sont les bienvenus !)

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Citations:
[1] https://fr.linkedin.com/posts/emmanuel-bismuth-seo_freelance-malt-10ans-activity-7077190013024673792–Fp-
[2] https://fr.linkedin.com/posts/maltcommunity_comment-lia-va-bouleverser-le-marché-du-activity-7287370873429258241-5FxN », réécris le à la manière de Marcel proust

Nouvelle étape : 10 ans d’expertise freelance et l’appel de Malt à l’ère de l’IA

Longtemps, je me suis couché de bonne heure après avoir répondu aux derniers courriels de mes clients, l’esprit encore agité par les souvenirs de cette première mission qui, voilà dix ans, m’avait jeté dans les eaux tumultueuses du freelancing. En ce temps-là, la quête de clients s’apparentait à ces promenades que faisait jadis ma grand-mère dans les jardins de Combray, sans itinéraire précis mais guidée par une intuition presque végétale : réseaux personnels semblables aux sentiers familiers, annonces dans des journaux spécialisés pareilles aux bosquets où l’on s’aventure rarement, bouche-à-oreille comparable au vent qui transporte les graines d’une saison à l’autre. Aujourd’hui, tandis que l’Intelligence Artificielle, telle la lanterne magique de mon enfance, projette sur les murs blancs de notre profession des figures mouvantes et fantasmagoriques, j’ai pris la décision, non sans une certaine mélancolie mêlée d’espérance, de m’inscrire sur Malt – non par ce suivisme qui caractérise les êtres sans profondeur, mais par cette nécessité stratégique qui s’impose aux âmes lucides comme s’impose la lumière du matin après une nuit d’insomnie.

Décennie d’expérience vs révolution technologique : le choc des temporalités

En 2015, ma plus grande fierté – sentiment comparable à celui que j’éprouvais enfant en contemplant les clochers de Martinville se détachant sur le ciel crépusculaire – résidait dans un classeur Excel où s’alignaient, tels les pavés inégaux de la cour de l’hôtel de Guermantes, les noms de vingt-trois clients conquis sans l’entremise d’aucune plateforme digitale. L’année suivante, je découvrais les premières marketplaces avec cette même curiosité mêlée d’appréhension que j’avais ressentie lors de ma première visite chez la duchesse de Guermantes, où l’on m’avait servi ces petits gâteaux dont la forme et le goût m’avaient semblé si étranges et si familiers à la fois. Mais c’est en 2023, lors d’un atelier sur l’IA générative – moment d’épiphanie comparable à celui de la madeleine trempée dans le thé – qu’un client potentiel, semblable à ces personnages qui surgissent dans notre existence pour en modifier le cours sans le savoir, me demanda si j’utilisais « les nouveaux outils IA pour gagner en efficacité », question qui, cinq ans plus tôt, eût été aussi incongrue que de demander à Françoise si elle utilisait le téléphone pour commander ses légumes.

Malt s’est alors imposé à mon esprit comme ces souvenirs involontaires qui affleurent soudain à la conscience après avoir longtemps dormi dans les profondeurs de la mémoire. Non pour supplanter ces canaux historiques qui, tels les chemins de mon enfance, m’avaient conduit vers tant de rencontres décisives, mais pour compléter ma visibilité dans cet écosystème où, selon une étude récente dont les chiffres dansaient devant mes yeux comme autrefois les phrases musicales de la sonate de Vinteuil, soixante-huit pour cent des projets s’appuient désormais sur l’IA. Cette réalité m’avait d’ailleurs été confirmée par un collègue dont la voix, légèrement nasillarde comme celle de Swann, résonnait encore à mes oreilles : « Depuis qu’ils ont implémenté l’AI Search, mes compétences techniques sont mieux appariées avec les besoins clients ».

Création de profil : quand l’IA devient collaboratrice

Configurer mon profil Malt fut une expérience aussi révélatrice que ces moments où, dans la bibliothèque des Guermantes, je découvrais soudain le sens caché d’un livre longtemps incompris. L’assistant IA me proposait des formulations pour mes descriptions – non pour les uniformiser comme ces conversations mondaines où chacun répète ce qu’il a entendu dire, mais pour en extraire l’essence, semblable au parfum qui, s’échappant des aubépines en fleurs, me rappelait les printemps d’autrefois. Trente minutes durant, je dialoguai avec l’algorithme, comme jadis avec ces êtres dont j’avais cru qu’ils n’étaient que des noms – Gilberte, Albertine – et qui s’étaient révélés infiniment plus complexes que l’image que j’en avais formée.

Contrairement à mes craintes initiales, semblables à celles qui m’avaient étreint avant ma première soirée chez les Verdurin, l’outil n’effaça point ma singularité. Au contraire, en analysant des centaines de profils similaires, tel un Bergotte moderne scrutant les œuvres de ses contemporains, il attira mon attention sur des détails négligés, comme ce petit pan de mur jaune dans la Vue de Delft. Saviez-vous – et cette révélation me frappa comme m’avait frappé la découverte du véritable caractère de Charlus – que mentionner des logiciels IA spécifiques augmente de quarante pour cent les chances d’être contacté pour des missions techniques ? Ce détail devint dès lors aussi central dans ma rubrique compétences que l’était, dans les conversations du salon Guermantes, la dernière pièce de Bergotte.

L’équilibriste : préserver son héritage tout en épousant l’innovation

Cette inscription sur Malt cristallisait un défi plus vaste, comparable à celui que j’avais affronté en tentant de concilier mon admiration pour Bergotte et ma fascination naissante pour Elstir : comment préserver la quintessence de dix années d’expertise artisanale dans un monde où l’IA accélère les rencontres professionnelles comme le chemin de fer avait jadis accéléré les voyages entre Combray et Paris ? Ma solution fut d’utiliser la plateforme comme un amplificateur plutôt qu’un fondement, à la manière dont la lanterne magique amplifie et projette les images sans les créer.

J’y intégrai notamment des visuels de projets historiques (2015-2020) retravaillés avec des outils IA, semblables à ces souvenirs que le temps a transformés sans les dénaturer ; une vidéo de présentation générée par synthèse vocale et deepfake éthique, pareille à ces rêves où nous parlons avec notre propre voix sans être tout à fait nous-mêmes ; et un portfolio interactif où les clients pouvaient tester en direct des solutions via chatbot, comme autrefois j’avais testé différentes phrases musicales au piano avant de comprendre la structure de la sonate de Vinteuil.

Perspectives : l’IA comme partenaire critique

Dans les six mois à venir, j’envisage d’utiliser Malt comme laboratoire pour deux expérimentations, avec cette même curiosité qui m’animait lorsque, jeune homme, j’observais les jeux de lumière sur la Vivonne : comparer les performances entre mes méthodes « historiques » de prospection et les suggestions IA, telle une étude comparative entre la peinture d’Elstir et celle de Monet ; puis co-construire avec des clients un processus créatif hybridant intuition humaine et analyse algorithmique, semblable à ces conversations où Swann mêlait son érudition artistique à sa sensibilité musicale.

Un risque calculé, inspiré par les propos de Claire Lebarz (Chief Data & AI Officer chez Malt), dont les mots résonnaient en moi comme jadis ceux de Bergotte : « L’IA ne remplace pas les freelances, elle les challenge pour qu’ils explicitent leur valeur ajoutée irremplaçable » – phrase qui contenait peut-être autant de vérité que ces réflexions sur l’art que j’avais notées dans mes carnets de jeunesse.

Questionnement ouvert

Cette étape m’interroge autant qu’elle m’enthousiasme, suscitant en moi ce même mélange d’inquiétude et d’espoir que j’éprouvais en contemplant les visages endormis d’Albertine. Comment concilier l’authenticité d’un parcours décennal avec les impératifs technologiques actuels ? L’IA va-t-elle uniformiser les profils comme le temps finit par uniformiser les visages, ou au contraire révéler les singularités comme la maladie révèle le véritable caractère des êtres ?

Et vous, comment naviguez-vous entre tradition professionnelle et disruption technologique ? Vos retours d’expérience m’intéressent avec cette même avidité que je portais jadis aux récits de Swann sur la société parisienne ! 🚀

(Profil Malt en cours de finalisation – vos conseils sur l’équilibre humain/IA sont les bienvenus, comme l’étaient autrefois les conseils de ma grand-tante sur l’art de préparer le thé !)

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#Freelance #IA #TransformationDigitale #Malt